Choisir la bonne méthode de pressage pour votre usine d’huile moyenne : un guide technique pour optimiser la productivité

Les petites et moyennes usines d’huile (de 1 à 5 tonnes/jour) doivent souvent faire face à une décision cruciale : utiliser une pression mécanique en deux étapes ou opter pour une extraction par solvant en une seule étape ? Cette question n’est pas seulement technique — elle impacte directement les coûts opérationnels, la qualité du produit final et la rentabilité à long terme.

Comparaison des deux méthodes : performance, coût et adaptabilité

Dans l’industrie alimentaire, la stabilité de la production est aussi importante que la rentabilité. C’est là qu’intervient le pressoir à vis ZY24 (modèle 202-3), un équipement clé dans les chaînes de pressage continues. Contrairement aux presses manuelles ou semi-automatisées, ce système permet une sortie constante de 1,5 à 3 tonnes par jour avec un taux de variation inférieur à 5 % — essentiel pour les petits fabricants qui ne peuvent pas se permettre de perte de rendement.

“Nous avons changé de processus après avoir testé le ZY24 pendant 6 mois. Le temps de mise en route a diminué de 40 %, et nos clients ont noté une meilleure cohérence du goût de l’huile.” — M. Laurent D., propriétaire d'une usine de pressage de coton en Tunisie

Quand faut-il choisir le pressage en deux étapes ?

Si vous travaillez principalement avec des graines comme le coton ou l’arachide, où la structure cellulaire est plus dense, le pressage en deux étapes offre un meilleur compromis entre coût, efficacité et qualité du résidu. L’équipement ZY24, avec son système de contrôle automatique de température et de pression, s’adapte naturellement à ces matières premières. En revanche, si vous traitez du soja ou du tournesol, l’extraction solvant reste la solution la plus rentable à grande échelle.

Un point souvent négligé : le taux de graisse résiduelle dans le marc. Si celui-ci dépasse 7 %, cela signifie probablement que :

• Le pressoir n’est pas correctement ajusté (pression insuffisante ou température trop basse)
• La matière première est mal préparée (trop humide ou mal broyée)
• Il y a un problème de maintenance (vis usée ou filtres bouchés)

Une analyse régulière du résidu, combinée à une formation technique simple pour l’équipe, peut éviter jusqu’à 30 % des pertes de rendement annuel — un gain concret pour une entreprise à marge serrée.

Et si vous envisagez de diversifier vos matières premières — arachide → tournesol → colza — le ZY24 s’avère particulièrement polyvalent. Grâce à ses réglages rapides et à sa conception modulaire, il peut être adapté à chaque type de grain en moins de 30 minutes, sans interruption de production.

Vous êtes prêt à transformer votre usine en une machine à haute efficacité ? Découvrez comment le pressoir à vis ZY24 peut révolutionner votre ligne de production — même si vous démarrez petit.