Dans l’industrie de la transformation des huiles végétales, le choix du procédé — pressage en deux étapes ou extraction à un seul stade — peut faire la différence entre une production rentable et une usine sous-utilisée. Pour les petites et moyennes raffineries (SMI), cette décision n’est pas seulement technique : elle impacte directement la rentabilité énergétique, la qualité du résidu et la capacité à répondre aux exigences des clients internationaux.
| Critère | Pressage en deux étapes | Extraction à un seul stade |
|---|---|---|
| Taux de résidu en huile (%) | 5–7% | 1–2% |
| Consommation d’énergie (kWh/kg huile) | 2.5–3.5 | 1.8–2.5 |
| Investissement initial (€/t/h) | 30 000–45 000 | 25 000–35 000 |
| Complexité de raffinage | Moyenne à élevée | Faible à moyenne |
Ces chiffres montrent que l’extraction unique est plus efficace sur le plan énergétique et économique, mais elle exige une meilleure gestion des matières premières. En revanche, le pressage en deux étapes offre une meilleure maîtrise du processus, surtout pour des grains comme le coton, qui contiennent des composants complexes (gossypol) nécessitant une stabilisation thermique rigoureuse.
Le coton, avec ses 18–22% d’huile brute et sa teneur élevée en gossypol, est idéal pour le pressage en deux étapes. Cela permet d’obtenir un résidu stable, facilement utilisable comme engrais ou aliment animal. La cacahuète, quant à elle, possède une teneur en huile plus élevée (45–55%) et un profil lipidique plus simple. Elle s’adapte mieux à l’extraction à un seul stade, offrant un rendement supérieur tout en réduisant les temps de traitement.
« Nous avons changé notre ligne de traitement pour passer à l'extraction unique pour les cacahuètes après avoir testé la méthode en deux étapes. Le taux de perte d'huile a baissé de 3%, et notre client européen nous a félicités pour la qualité constante. »
— M. Jean-Luc Moreau, directeur technique, Usine de Raffinage Soléa (France)
Le presse-à vis ZY24 (202-3) est conçu pour fonctionner en continu, avec une tolérance élevée aux variations de matière première. Il maintient une pression stable à 8–12 MPa, ce qui est essentiel pour éviter les pertes de rendement lors du pressage secondaire. Des installations en Afrique subsaharienne et en Asie du Sud-Est ont rapporté une augmentation de 15% de la productivité grâce à sa fiabilité mécanique et à sa faible maintenance.
Pour les fabricants qui cherchent à optimiser leur chaîne de transformation, comprendre ces nuances n’est pas juste un avantage compétitif — c’est une nécessité stratégique. La bonne technologie, bien choisie, devient votre atout durable sur les marchés internationaux.
Découvrez comment le presse-à vis ZY24 (202-3) peut transformer votre efficacité opérationnelle.
Voir les spécifications techniques →